Sous la lumière tamisée, sa poitrine s’élève, fière et offerte,
deux courbes souveraines ornées de métal, comme des promesses secrètes.
Les piercings brillent, témoins silencieux de son audace,
petits éclats d’argent contre le velours de sa peau.
Ce n’est pas la nudité qui trouble,
mais la manière dont elle la porte :
avec défi, avec grâce,
comme une œuvre d’art consciente de son pouvoir.
Chaque détail — l’encre, le fer, la peau —
raconte une histoire de liberté,
où le corps devient un sanctuaire,
et le regard, un pèlerin perdu.
Elle ne portait que son sourire et un soupçon d’audace. Sa peau, caressée par la lumière, laissait deviner un tatouage aussi envoûtant que son regard caché derrière une mèche rebelle. Chaque courbe racontait une histoire, chaque ombre dessinait le désir. Elle n’avait pas besoin de mots pour captiver, son silence était déjà un murmure brûlant. Et dans ce moment suspendu, elle était l’incarnation même de la tentation.
Sous le ciel doré d’un soir d’été,
un peintre a capturé l’instant parfait.
La lumière caresse les collines,
comme un doux murmure de la nature divine.
Le chapeau repose, témoin silencieux,
d’une âme qui contemple, les yeux rêveurs, les cieux.
Entre pinceaux et vent léger,
le paysage devient éternité.
Un tableau dans le tableau, une illusion si réelle,
où l’art et la vie se mêlent en aquarelle.
Et dans ce calme champ de lumière et de blé,
naît la poésie d’un monde apaisé.
Dans le calme d’un moment suspendu,
Elle tient une rose, fragile comme l’écho de ses pensées.
Son regard, posé avec délicatesse,
Effleure les pétales comme on frôle un souvenir.
Elle ne parle pas, mais son silence murmure.
Chaque battement de cœur, chaque souffle discret,
Répète l’évidence d’un amour qu’on n’ose dire,
Mais que tout son être semble vouloir offrir.
Ce n’est pas la rose qu’elle contemple,
C’est l’ombre d’un rêve, le reflet d’un nom,
Celui qui fait frémir sa peau comme la brise d’été
Et qui habite ses silences les plus profonds.
Dans cette lumière douce et pudique,
Elle est plus qu’une image — elle est une promesse,
Celle d’un amour pur, délicat, et vrai,
Comme une fleur qu’on garde près du cœur pour l’éternité.
Que la douceur de cette nuit soit à l’image de ce regard : intense, envoûtant, et plein de mystère. Ce moment, je le dédie à toi, dans l’attente de te retrouver pour en écrire d’autres, encore plus passionnés.
Sur la toile douce de sa peau,
Un pinceau trace un battement nouveau.
Un cœur esquissé, fragile et sincère,
Comme un secret soufflé à l’univers.
Chaque trait, une émotion muette,
Chaque courbe, une promesse discrète.
Dans ce geste simple, presque enfantin,
Se dessine l’écho d’un destin.
Ce n’est pas qu’un dessin, c’est un serment,
Un murmure d’âme, un doux moment.
Peindre un cœur, ce n’est pas anodin…
C’est offrir le sien, du creux de la main..
un coucher de soleil embrasse l’arbre solitaire.
La nature sculpte l’amour en silence,
et dans cette fenêtre de tendresse,
le jour s’incline doucement devant la nuit.
Chaque rayon effleure l’écorce du monde
comme une promesse murmurée au vent.
C’est dans les détails les plus simples
que l’on voit les plus grandes vérités :
l’amour, la paix, l’éternité.
Sous la brume d’un noir éternel,
La lumière danse sur la dentelle,
Et chaque courbe, chaque secret,
Devient poème qu’on devine muet.
L’encre court sur peau de soie,
Telles des pensées qu’on ne dit qu’une fois,
Un jardin sauvage, une fleur de feu,
Gravée sur l’épiderme comme un vœu.
Elle ne se cache pas, elle éclaire,
D’un regard sûr, d’un souffle fier,
Muse d’un monde qu’elle peint à l’envie,
Libre, tatouée, entière — et en vie.
Par amour, j'ai fait ce que personne ne ferait par folie, et dans mon état le plus sain d'esprit, j'ai décidé de tout faire par amour. »
Commentaires
1. Lapetiterebelleattachiante le 09-06-2025 à 18:20:23 (site)
Bonsoir Benoît bonne soirée à toi aussi bisous Nelly
2. douceur-d-ame le 09-06-2025 à 18:30:20 (site)
Bonsoir Nelly merci très bonne soirée à toi aussi bisous