Bienvenue dans mon monde

posté le 09-06-2025 à 15:26:04

Ornement de chair et d’âme

 

Sous la lumière tamisée, sa poitrine s’élève, fière et offerte,

deux courbes souveraines ornées de métal, comme des promesses secrètes.

Les piercings brillent, témoins silencieux de son audace,

petits éclats d’argent contre le velours de sa peau.

Ce n’est pas la nudité qui trouble,

mais la manière dont elle la porte :

avec défi, avec grâce,

comme une œuvre d’art consciente de son pouvoir.

Chaque détail — l’encre, le fer, la peau —

raconte une histoire de liberté,

où le corps devient un sanctuaire,

et le regard, un pèlerin perdu.


 


 
 
posté le 09-06-2025 à 15:10:11

Rose indomptable..

 

 

Elle effleure la rose comme un secret interdit,

Ses lèvres murmurent l’insolence du désir.

Ni docile, ni promise -juste elle,

Sauvage, libre… et impossible à retenir.


 


 
 
posté le 09-06-2025 à 15:02:59

Caressée par la lumière..

Elle ne portait que son sourire et un soupçon d’audace. Sa peau, caressée par la lumière, laissait deviner un tatouage aussi envoûtant que son regard caché derrière une mèche rebelle. Chaque courbe racontait une histoire, chaque ombre dessinait le désir. Elle n’avait pas besoin de mots pour captiver, son silence était déjà un murmure brûlant. Et dans ce moment suspendu, elle était l’incarnation même de la tentation.


 


 
 
posté le 09-06-2025 à 13:06:50

Texte poétique

Sous le ciel doré d’un soir d’été,

un peintre a capturé l’instant parfait.

La lumière caresse les collines,

comme un doux murmure de la nature divine.

Le chapeau repose, témoin silencieux,

d’une âme qui contemple, les yeux rêveurs, les cieux.

Entre pinceaux et vent léger,

le paysage devient éternité.

Un tableau dans le tableau, une illusion si réelle,

où l’art et la vie se mêlent en aquarelle.

Et dans ce calme champ de lumière et de blé,

naît la poésie d’un monde apaisé.


 


 
 
posté le 09-06-2025 à 12:57:55

Lumière tamisée

Sous la caresse d’une lumière tamisée, elle s’offre au silence, vêtue de dentelle noire comme une invitation murmurée à l’oreille. Chaque courbe se dessine avec une précision troublante, soulignée par les lanières effleurant sa peau, comme des doigts impatients. Son corps parle, lentement, sans un mot, avec la douceur d’un souffle chaud contre la nuque.Ses mains glissent sur ses cuisses gainées de bas, gestes lents, pleins de promesses. Le tissu épouse ses formes, s’attarde là où le regard se perd. Rien n’est pressé, tout est ressenti. Elle ne se dévoile pas, elle s’offre au regard avec la sensualité d’une confidence interdite.C’est un moment suspendu — un jeu de peau, de tissu et de désir — où l’attente devient une volupté, et le moindre frisson, un appel.

 
 


 
 
 

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