Sous la lumière tamisée, sa poitrine s’élève, fière et offerte,
deux courbes souveraines ornées de métal, comme des promesses secrètes.
Les piercings brillent, témoins silencieux de son audace,
petits éclats d’argent contre le velours de sa peau.
Ce n’est pas la nudité qui trouble,
mais la manière dont elle la porte :
avec défi, avec grâce,
comme une œuvre d’art consciente de son pouvoir.
Chaque détail — l’encre, le fer, la peau —
raconte une histoire de liberté,
où le corps devient un sanctuaire,
et le regard, un pèlerin perdu.