un coucher de soleil embrasse l’arbre solitaire.
La nature sculpte l’amour en silence,
et dans cette fenêtre de tendresse,
le jour s’incline doucement devant la nuit.
Chaque rayon effleure l’écorce du monde
comme une promesse murmurée au vent.
C’est dans les détails les plus simples
que l’on voit les plus grandes vérités :
l’amour, la paix, l’éternité.
Sous la brume d’un noir éternel,
La lumière danse sur la dentelle,
Et chaque courbe, chaque secret,
Devient poème qu’on devine muet.
L’encre court sur peau de soie,
Telles des pensées qu’on ne dit qu’une fois,
Un jardin sauvage, une fleur de feu,
Gravée sur l’épiderme comme un vœu.
Elle ne se cache pas, elle éclaire,
D’un regard sûr, d’un souffle fier,
Muse d’un monde qu’elle peint à l’envie,
Libre, tatouée, entière — et en vie.
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